Mais non, je suis pas zinzin. J’ai des amies virtuelles. Pourtant, je ressens des émotions bien réelles.
Qui l’eut cru qu’écrire pouvait faire du bien et permettait en plus de trouver des personnes sur ce chemin.
Qui aurait pu me dire que je trouverais des personnes un peu comme moi.
Pas moi en tout cas.
J’ai des amies virtuelles mais quand Maman sur Terre ou la Maman du Ptit Pois annoncent qu’elles sont enceintes, je suis réellement heureuse pour elles. Un sourire se dessine sur mon visage. Et dans mon ventre une boule de chaleur qui s’appelle bonheur.
J’ai des amies virtuelles mais quand y’en a une qui galère, je galère un peu aussi pour elle, et je lui envoie vraiment tout mon courage, parce que j’ai la gorge qui se serre et les tripes qui se révoltent. Hein ma Chuchu, j’espère que le nain te donne un peu de répit. Et madame Zaza : contente que tu aies pu partir :)
J’ai des amies virtuelles, et quand elles ont un coup de mou, ou un coup de « youhhouhhou » comme McMaman et son interview Figaro, je plussoie. Mille fois plutôt qu’une. Et ma tête fait « yyiihhaaahhhaaa ».
J’ai des amies virtuelles et pourtant chaque jour, je les retrouve avec bonheur, impatience et joie. Comme des petits papillons dans mon ventre (non, je suis pas enceinte je te dis !). Je les lis, sur leur blog ou dans les commentaires (merci Aline d’être là avec ta douceur, Claire, Marie… et toutes les autres).
J’ai des amies virtuelles et je connais petit à petit leur vie, leurs espoirs, leurs questionnements (Marmouzets, Mme Déjantée, Lady & baby, Baby Pop…).
J’ai des amies virtuelles et j’ai de la chance de les connaître.
Merci à vous toutes qui passez chaque jour ici sur Facebook , Hellocoton ou Twitter et qui comptez pour moi :)
Allez, des petits coeurs <3<3<3<3 et des gros câlins, juste pour vous :)