Quand la CAF te rappelle qu’il faut réfléchir avant de concevoir

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Toutes les bonnes choses ont une fin : la taille 36, David Bowie ou une plaque de chocolat Côte d’or lait aux noisettes entières. Les aides de la CAF, c’est un peu pareil.

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Colère

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Ce soir, j’ai crié.
Encore une fois, je me suis laissée envahir par la colère.
Encore une fois, elle s’est exprimée par des cris.
Une journée un peu longue mais pas si difficile.
Un tour au supermarché pour préparer les pique-niques des enfants de jeudi et vendredi.
Un repas de midi relativement calme. Continuer à lire … « Colère »

Des papillons dans le cœur

Quand j’entends son minuscule bisous claquer sur ma joue au creux de mon oreille.
Quand elle me dit les yeux plein d’étoiles « on s’est embrassé sur la bouche avec mon amoureux ».
Quand il s’évertue à dire « totette » en rigolant car il sait que ça me fait rire (et que je trouve ça trop mignon).
Quand ils se prennent fort dans les bras, frère et sœur.
Quand avec ses mots il me raconte sa journée chez nounou.
Quand elle me tend sa deuxième joue en disant « elle va être jalouse » pour le baiser du soir.
Quand le ronronnement d’une journée on ne peut plus banale devient une douce mélodie dans mon cœur. Continuer à lire … « Des papillons dans le cœur »

Aujourd’hui, dès l’aube

Hier soir, je voulais me coucher tôt. 23h.
Comme tous les soirs, je me suis laissée emporter par le tourbillon chronophage de l’Internet.
Il faut que je mette en place mon site pro. Seule ou presque. Autant dire que je me lance à corps perdu dans l’océan insondable… de je ne sais même pas quoi !

Je finis par me mettre au lit à minuit passé. Un peu d’Instagram pour me vider la tête…
Je mets le réveil à 7h.
Je sens que ça va piquer demain matin.
Ou devrais-je dire toute à l’heure. Continuer à lire … « Aujourd’hui, dès l’aube »

Je crois que je l’aime

Les bons souvenirs qui reviennent.
Faire la paix.
Respirer.
Exister.

Les bons petits plats.
Les barres de chocolat.
Les tortillas.
Les sourires.
Le temps qui passe trop vite.
Pour une fois j’aimerais rester, papoter, lui montrer mes enfants.

Je la comprends.
Moi aussi je suis maman maintenant.
Moi aussi je sais que ce n’est pas facile.
On est imparfaite.
Tant mieux.
Tant pis.

Ce qui est sûr c’est que j’aime mes enfants.
Ce qui est sûr c’est qu’elle nous aime, ses enfants.
Je crois que je l’aime.
Ou que j’apprends à me dire que oui je l’aime,
Que non, elle ne me possède plus,
Qu’aujourd’hui je suis libre,
Libre d’être pleinement ce que je suis
Libre de faire mes choix,
D’exprimer mes envies.
De dire non.
De dire oui,
Si j’ai envie.
Libre de l’aimer
Et d’être pourtant différente.

Je crois que je l’aime et que je serais triste quand elle ne sera plus là.
Je crois que je l’aime et qu’elle a sa place dans ma vie.
Dans celle de mes enfants
Je crois même que c’est une bonne mamie.
Touchante.
Avec ses défauts.
Comme tout être humain.

Je crois qu’après la tempête revient le calme.
Jusqu’à la prochaine tourmente.
Ou pas.

Je crois même que je pourrais passer une après-midi avec elle.
Peut-être.
Sans stresser.
Sans avoir peur.

Petit à petit, renouer
Renouer avec le passé,
Celui qui est doux,
Qui est bon.
Laisser de côté les vieux démons.
Faire comme si ce jour était le dernier.

Et l’aimer.